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Rien ne prédestinait Mélanie à devenir une « jument », aucune anomalie génétique, en tout cas : c’était une femme comme tant d’autres, qui s’ennuyait et ne savait trop quoi faire de sa peau. Après avoir couché avec les maris de toutes ses amies, la jeune épouse de Me de Challonges décide, pour se changer les idées et « se donner un peu de mouvement », de faire de l’équitation. Un beau matin, après avoir accompagné ses enfants à l’école, elle se rend à l’écurie d’Hugo von P., le maître du manège. Mais là, notre apprentie Messaline va vite s’apercevoir qu’on dresse deux sortes de juments. Toutes ne servent pas de montures aux mêmes cavaliers...
Dans l’odeur du cuir, du stupre et du crottin, un Esparbec pur et dur de la meilleure cuvée.
« Bien loin des contorsions pseudo-“artistiques” trop souvent
le lot sempiternel des romans contemporains, Esparbec pratique avec bonheur la pornographie pure. »