J'etais fille au pair malgache

Au début de sa confession, la jeune Bakoulé est très contente d'elle. Se contemplant dans la glace, toute nue, elle frémit d'aise. Le Bon Dieu l'a bien gâtée. Des fesses bien en chair, cambrées qui donnent envie de mordre dedans, de superbes seins en forme de poires, à l'africaine. Un peu trop voyants même, à son goût du moins. De vrais obus dont les aréoles gonflées la gênent souvent. Elle en a honte car elles paraissent en état permanent d'excitation. Et ce n'est rien, encore : là en bas, son abricot, qu'elle vient de raser, un vrai bijou, semble crier famine Ah, elle est loin ce matin là, alors qu'elle se prépare pour retrouver son nouveau copain, de se douter de ce qui l'attend