J'aime quand on joue avec moi

Réécrite par Jack Sabal, cette confession est le récit que lui fit une de ses amies affligée d'une insolite perversion sexuelle. Tout son érotisme est concentré sur les seins. Elle aime les exhiber à des inconnus, qu'on les lui frôle au passage, qu'on les lui tripote. Dès qu'on s'intéresse à eux, elle est sans force, prête à tous les abandons, ne sait plus à quel sein se vouer. Vous pensez si les hommes en profitent! Et que je te dépoitraille, et que je te pince les mamelles (Gisèle, la narratrice, est particulièrement bien pourvue de ce côté), et que je te tète. Son insolite "martyre" a commencé très tôt, car, pour son malheur, elle a eu, très jeune encore, des seins phénoménaux. Alors que toutes ses copines étaient plates, Gisèle promenait déjà des appas plantureux. N'était-il pas fatal que les garçons s'y intéressent? Qu'ils cherchent à en voir davantage? Et les ayant vus, à les toucher? Le destin de Gisèle était tout tracé. Elle est devenue le bras droit (le bras et les seins) d'un psy qu'elle aide à soigner les patients obsédés... par les seins.